Les attaques physiques et chimiques peuvent causer des dégradations d'un béton, pour réparer un béton dégradé, PAREXLANKO vous accompagne et vous apporte la solution.
Préparation
Mise en œuvre
Finition
Introduction
Les causes de dégradation d’un béton sont nombreuses. Elles peuvent provenir de certaines attaques physiques telles que des chocs, les cycles gel/dégel et humidité/sécheresse, ou chimiques comme le phénomène de corrosion des armatures. Cependant, elles sont généralement liées à des défauts d’exécution ou de conception : mauvais positionnement et enrobage des aciers, ségrégation… En tout état de cause, si les fers du béton sont apparents, il est indispensable de les traiter de manière à éviter l’oxydation qui fera éclater le béton.
Étapes à respecter
La carbonatation est la cause principale de vieillissement du béton d'enrobage. On appelle carbonatation la réaction chimique entre le gaz carbonique CO2 contenu dans l’air et l’hydroxyde de calcium Ca(OH)2 contenu dans le béton. Si ce phénomène naturel n’est pas nocif pour le béton (elle agit à la manière d’une protection naturelle contre la pénétration des gaz et des liquides), cette même carbonatation peut être, en revanche, à l’origine d’importants dommages sur les structures en béton armé.
En effet, la carbonatation entraîne la diminution de l’alcalinité de la solution interstitielle du béton, faisant passer le pH du béton de 13 à une valeur proche de 9. Conséquences directes : les aciers dans le béton ne sont plus protégés et le phénomène de corrosion des armatures commence. Une réaction électrochimique démarre entre la zone avec le pH le plus faible (l’anode) et la zone protégée (la cathode).
L’oxydation de l’anode entraîne la corrosion de l’acier. La rouille qui se forme occupe un volume 8 fois plus important, déclenchant une fissuration du béton, voire un éclatement du béton d’enrobage et, à terme, une perte de section des armatures et la réduction de la capacité portante ».
Si l’épaisseur de recouvrement de l’acier par le mortier de réparation est inférieure à 10 mm.
Dans un ouvrage d’art, les armatures passivées sont naturellement protégées dans le béton. Au fil du temps, les entreprises intervenant en génie civil doivent faire face à la corrosion des armatures.
La carbonatation du béton d’enrobage (CO2 provenant de la pollution et des agressions extérieures telles que les conditions climatiques) et la pénétration des ions chlorures (provenant du bord de mer ou des sels de déverglaçage) peuvent dégrader le bâtiment et mener à un phénomène de corrosion des aciers dans le béton.
Dans le cadre du vieillissement des ouvrages d’art, si la corrosion des armatures a des causes naturelles, elle peut avoir des causes structurelles : la qualité du béton, l’utilisation de matériaux inappropriés voire des erreurs de conception ou de construction (enrobage des armatures, qualité du revêtement, etc
Retrouver notre article "Les anodes galvaniques pour traiter la corrosion des armatures du béton armé" et notre livre blanc "Traiter la corrosion des ouvrages en béton armé"
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